La Maison, d’hier à aujourd’hui
Un rêve sans bagages... avec la conviction de sa nécessité et l’expérience des besoins en fin de vie.
Nous étions en novembre 1992.
Le vécu quotidien d’un groupe de personnes de terrain confrontées à la complexité de la prise en charge de patients atteints de VIH,
a fait naître l’idée d’un lieu où les personnes malades et leurs proches se sentent pris en compte et puissent partager cette étape de la vie… un peu dans « leur maison », comme un chez soi chaleureux, avec la sécurité des soins d’une équipe médicale.
a fait naître l’idée d’un lieu où les personnes malades et leurs proches se sentent pris en compte et puissent partager cette étape de la vie… un peu dans « leur maison », comme un chez soi chaleureux, avec la sécurité des soins d’une équipe médicale.
1994
Le projet a nécessité deux ans de réflexions et démarches administratives parfois soutenues et quelquefois rejetées.
En octobre 1994, La Maison ouvre ses portes pour accueillir 10 résidents puis 12 l’année suivante.
L’arrivée de la trithérapie a modifié les objectifs de prise en charge pour les patients atteints de vih et les admissions se sont élargies aux personnes atteintes de cancer, de maladies neurologiques (SLA…).
1999
En 1999, notre établissement devient organisme de formation agréé. Ainsi nous pouvons accueillir des personnes en formation (professionnels de santé, bénévoles, étudiants …).
2003
Novembre 2003, La Maison déménage et s’agrandit ; le nombre de résidents accueillis passe de 12 à 24, répartis dans deux unités de soins.
2004
Janvier 2004, création d’un accueil de jour pour personnes vulnérables, atteintes de maladies graves où sont introduits l’art, la culture et la création.
2010
Juin 2010, participation à la mise en place d’un dispositif départemental en partenariat avec le réseau des soins palliatifs et d’autres établissements de soins palliatifs du département. Création de cinq équipes mobiles territoriales adossées à ces établissements. Notre équipe mobile devient territoriale.
2016
Juin 2016, création de la Villa Izoï, une maison de vie pour des personnes atteintes d’une maladie incurable et évolutive qui se trouvent dans un temps de leur maladie qui s’est chronicisée autour d’une perte réelle d’autonomie, en évolution lente et inéluctable et dont les conséquences sociales impactent leurs capacités à rester dans leur domicile